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Kinshasa-Kigali, dialogue impossible et inutile

Kinshasa-Kigali, dialogue impossible et inutile
Kinshasa-Kigali, dialogue impossible et inutile

Il s'agit du titre du Phare. Selon le quotidien proche du gouvernement de la RDC, « les Congolais sont surpris et révoltés par des communiqués que la communauté internationale, à travers diverses organisations, présente comme piste de solution à l’insécurité, mieux l’agression dont est victime l’Est de la RDC. Ce qui choque et énerve le plus, explique Le Phare, c’est cette invitation lancée à la RDC de négocier avec le Rwanda, pourtant reconnu par tous, y compris l’ONU, comme pays agresseur.

Une provocation et une injure à l’égard des millions de victimes congolaises, estiment les confrères du quotidien qui dénoncent un complot de la communauté internationale ».

Pour sa part, le trihebdomadaire Congo Nouveau estime que « La Monusco enfume le gouvernement avec l’opération conjointe casques bleus-FARDC pour protéger Goma. Les casques bleus se sont déployés en position défensive à 30 kilomètres de la ville de Goma pour tenter de contrer toute avancée du M23/RDF », rapporte le journal Congo Nouveau.

Réveil tardif de la Monusco
Le bihebdomadaire Le Maximum. constate que la force onusienne, très critiquée pour son apathie à l’égard de la coalition RDF-M23 particulièrement, a décidé d’organiser une campagne médiatique autour de cette opération manifestement pour redorer le blason plus que terni dans l’opinion congolaise. « À Goma, écrit Le Maximum, la société civile et les mouvements citoyens ont exhorté le gouvernement à la vigilance vis-à-vis de l’appui soudain des onusiens dans la protection de Goma et Kitshanga. »

« L’Alliance des leaders de la société civile appelle au report des élections pour juillet 2024 », titre le quotidien La Prospérité qui évoque une correspondance adressée au président de la République par ces leaders pour proposer une autre transition… « Un président + trois vice-présidents provenant des espaces linguistiques autres que ceux de l’actuel chef de l’État. Un autre son de cloche à seulement quelques jours de la date annoncée pour les élections générales fixées au 20 décembre prochain, peut-on lire dans ce journal. La situation sécuritaire à travers le pays et les difficultés financières imposent cette option courageuse et responsable », soulignent les leaders de la société civile cités dans La Prospérité.

 

 

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